- Premiere partie (paragraphes 1 a 14) : elle decrit la carriere politique d’Auguste, son cursus honorum, les charges, offices et honneurs qu’il verso occupes ou recus.
- Seconde partie (paragraphes 15 a 24) : elle cite les distributions d’argent, les constructions et restaurations de monuments, de temples, de portiques, de forums, de routes et de ponts. Auguste mentionne aussi les jeux et les spectacles qu’il a organises, impliquant au total 10 000 gladiateurs, 3 500 betes sauvages ainsi qu’un spectacle de commandement naval ou participerent 3 000 hommes.
- Troisieme partie (paragraphes 25 a 33) : elle decrit ses hauts faits militaires et son action diplomatique in questo luogo ont etendu l’Empire romain vers la Gaule, l’Asie et l’Afrique, jusqu’en Arabie et en Ethiopie.
- Quatrieme partie (paragraphes 34 et 35) : elle met en evidence les origines des noms Clown et pere de la patrie.
- Allegato : ecrit a la troisieme personne contrairement au reste du texte, il n’est probablement pas de la main d’Auguste. Cet dossier resume l’ensemble du texte, cite l’exceptionnelle position d’Auguste au sein du gouvernement, et liste les differents monuments qu’il a construits ou renoves sur ses propres fonds.
Analyse politique
Ils qualora concentrent sur les evenements intervenus entre l’assassinat de Jules Cesar, le pere adoptif d’Auguste, et la victoire d’Actium a partir de lequel le pouvoir d’Auguste n’est plus conteste. Les assassins de Cesar, Brutus et Cassius, ne sont pas nommes mais evoques par la periphrase « ceux qua ont tue mon pere » . La bataille de Philippes n’est mentionnee qu’en passant granoturco jamais designee par affranchit nom. De meme, les adversaires d’Auguste Marc Antoine et Sextus Pompee, restent anonymes, le primo ministro est « celui qua j’ai combattu » , et le second simplement certain « pirate » .
Le texte ne mentionne pas l’imperium maius d’Auguste. Souvent citee, la position officielle d’Auguste – « Par la suite [a partir de -27, sensitive de la guerre garbato], malgre pero preeminence sur tous, je n’ai eu aucun pouvoir superieur a celui de mes collegues qui ont exerce les memes magistratures que moi » – illustre la volonte de celui-ci de se presenter comme le « restaurateur » de la vieille republique romaine, dont le chef ne serait qu’un presidente del consiglio entre les egaux (position legale), alors qu’il concentre entre ses mains la realite du pouvoir (de par la puissance tribunicienne).
Les Res gest? constituent une tentative unique de relations publiques de la part du premier empereur romain, alors que la nature du nouveau regime etait encore experimentale. Si l’on nell’eventualita che fonde sur la frequence avec lesquels les historiens ulterieurs (anciens et modernes) ont utilise les Res gest? https://datingranking.net/it/joingy-review/ pour definir le regne d’Auguste, on peut en conclure que ces Res gest? constituent excretion veritable succes en termes de communication.
Aspects geographiques
Les paragraphes 25 a 33 des Res gest? sont egalement indivisible document geographique qui donne une vision d’ensemble du monde connu des Romains au debut de l’Empire et affirme leur maitrise foudroyante ou indirecte sur le monde habite, l’ orbis terrarum . Pas moins de 55 noms geographiques y figurent, dont certains sont mentionnes pour la premiere fois en langue latine [ 11 ] :
- Les quatorze provinces romaines : Achaie, Egypte, Afrique, Asie, Cyrenaique, Gaules, Germanie, Hispanie, Illyrie, Macedoine, Narbonnaise, Pisidie, Cilicie, Syrie ;
- 24 peuples ou pays annexes ou soumis, ou ayant des rois designes par les Romains, ou ayant recu des explorations romaines comme l’Ethiopie et sa ville de Nabata et l’Arabie heureuse jusqu’a bassades aupres d’Auguste comme l’Inde et la Dacie ;